Pierre PHALIP

Quelques photos de mon papa jeune

C est avec une grande tristesse que j ai appris le départ de mon compagnon de tennis Pierre, que de bons moments passés sur les cours avec les enfants, et que dire de nos matchs ou tu étais impassable, même si le temps nous avait éloignés, c était toujours un plaisir que de te voir de temps en temps. Je perpétue la lignée tennistique avec Romain et Anna que j accompagne depuis 2 ans.
Toutes mes pensées vont vers la famille, toutes nos sincères condoléances de la part des capecchi.

Toutes mes plus sincères condoléances à toute la famille. Gisèle, je suis de tout cœur avec toi dans ces moments de tristesse et de douleurs pour traverser cette très dure épreuve de la vie. Je t'embrasse très fort, Nathalie 🤍

Pierre,
Vous avez toujours été un beau père discret, peu bavard mais bon dans vos paroles et vos actes. Vos petits enfants se sont épanouis auprès de vous et ont beaucoup appris.
Je me souviens du jardinage avec Gio, de vos conseils pour le tennis pour Romain et de vos belles paroles et conseils photos pour Anna. Vous nous manquerez mais je sais que vous veillerez sur nous tous de là haut.
Salut Pierre.

Pour mon frère

Pierrot, mon 'grand frère ' tu vas me manquer même si l'on ne se voyait ou appelait peu. Mais on pouvait compter l'un sur l'autre. Tu as eu la gentillesse de venir auprès de Danièle avant sa disparition. J'ai des souvenirs qui affluent de notre jeunesse les parties de cowboy avec Danièle et moi en indienne attachée au fond du jardin et vous deux m'abandonnant pour aller goûter. Toi en chaperon obligé car papa ne voulait pas que je sorte seule au club de tennis le soir, en boîte de nuit oui, c'est vrai, à Marseille ou à Bandol et tu aimais danser le rock et la musique. Tu n'aimais pas trop papoter ce que l'on faisait Danièle et moi enfants, ados mais tu écoutais et donnais ton avis, toujours efficace le grand frère. Toujours là pour aider, donner un coup de main au déménagement de la famille. Je me rappelle aussi votre venue à Chamonix vous à l'auberge et nous au chalet trop petit pour vous accueillir. Dernièrement ton dernier voyage en septembre que nous avons fait pour disperser les cendres de Danièle et un retour aussi sur le passé de notre père lors de son évasion du train qui l'emmenait en Allemagne en 1940 dans la haute Saône et la Marne, ses cachettes en forêt etc . Cela t'avait beaucoup affecté car tu étais très sensible sous tes airs fermés mais ce n'était qu'une carapace que je savais faire sauter... Pierrot, tu as fait partie de ma vie et je ne t'oublierai pas.. toujours dans mon coeur près de la petite sœur. J'embrasse la famille de Provence et je partage leur peine et surtout celle de Gisèle... Michèle