Raymond VIVES

Pour les éclaboussures aux fontaines de la Gargouille lors de notre 1ere rencontre, pour tous les dessins de fleurs reçus, toujours accompagnés d'un joli jeu de mots, à chacun de mes anniversaires, pour tous nos échanges sur les livres lus, l'école et la vie, pour tous les services rendus dans l'appartement, pour les aides ponctuelles, pour tous les instants, les gouters, les mercredis, les soirées avec Nolan et Soline, ... Ce ne sont que des bons souvenirs ! Merci d'avoir été là pour tout ça !

Nous sommes attristés et souhaitons vous transmettre nos sincères condoléances. Nous avons eu la chance de connaître Raymond, sa présence discrète, un homme d'une grande sensibilité, d'une intelligence clairvoyante et bienveillante, un penseur, poête, chanteur, musicien, on se rencontrait, chez Christine, l'Encroyeuse, au magasin. Toujours prêt à réflêchir sur les dernières nouvelles, à agir, à se confronter au débat d'idées, avec des maximes parfois déstabilisantes mais toujours éclairantes,des valeurs, de l'humanité, de l'humilité et une grande réserve quant à lui. C'était un grand homme, son énergie nous manquera. Elisabeth et Olivier Martin-Hinault.

Raymond,
Tu as d’abord été un regard bleu, surplombant un sourire malicieux et irrésistible, croisé au hasard d’un couloir de l’administration de l’hôpital psychiatrique où nous étions employés.
Il n’en a pas fallu davantage pour que tu fasses une entrée remarquable dans mon existence de jeune-fille fleur bleue !
Tu as rajouté une guitare lors d’une soirée au clair de lune sur une plage.
Six mois plus tard nous étions mariés et après huit jours de « lune de miel » la vraie vie nous a rattrapés.
Je t’ai demandé pourquoi tu m’as choisie.
Tu as répondu avec ton petit sourire moqueur : « je voulais savoir ce qu’une assistante sociale avait dans le ventre ! »
Comme nous l’avons compris tous les deux quelques années plus tard, c’est notre fils que j’avais dans le ventre.
Raymond, le décor est planté, mais le scénario n’est intéressant que pour notre trio.
Tu as été un compagnon loyal sur lequel j’ai toujours compté pour éduquer à deux Sébastien, mais aussi dans ma vie, lorsque des drames familiaux inéluctables.
Tu as été celui en qui j’ai placé toute ma confiance.
Nous avons su développer et garder les sentiments grâce auxquels nous avons tissé des liens indéfectibles rares.
Cette complicité me manque déjà.
Les derniers mois de ton existence m’ont permis d’accepter petit à petit, le moment où tu ne m’as plus reconnue, et en accord avec Sébastien, j’ai mis fin à mon rôle à tes côtés.
C’est en te disant : « je t’aime, tu sais ? » que je t’ai quitté emportant ta réponse « je sais » accompagnée par une petite flamme dans ton regard toujours bleu.
J’espère avoir été présente à la place que tu souhaitais jusqu’à ce que cela ne soit plus nécessaire pour toi.
Aujourd’hui, puisque tu pars, essaye de ne pas nous oublier trop vite.
Ton père m’avait avertie « Raymond il est spécial » il aurait pu rajouter « et unique ».
Marilou

Mes sincères condoléances à la famille et aux proches, un voisin toujours souriant, digne, discret et avec de l'humour. Que son âme repose en paix

Nous vous présentons toutes nos condoléances à toutes votre famille. Notre regretté Raymond Vives, si agréable, gentil, bienveillant , courtois... tel était son quotidien !
Notre voisin a Balthazar ,Raymond Vives infirmier sympathique et souriant.
Puis voisin au Vaillant, nous sommes devenus progressivement Amis. Le chant , le théâtre toursky, la peinture, sa soif de partage de connaissances et d humanité .
Tu m a soutenue dans toutes mes formations, ainsi que ton Amie Ysa.
Ces dernières années, tu nous siflotais tes chants . Partage de cuisine dites "saine".
Toi qui n aimais la coriandre, tu te régalez de mes tupperwares à la coriandre.
Merci pour tout et merci d avoir croisé ma vie à plusieurs reprises.

A présent je souhaite le meilleur à ta belle famille.

REPOSE EN PAIX MON AMI 🥀


Raymond nous te regretteront